Marcela Roggeri

Cd's

Marcela Roggeri y James Strauss lanzan nuevo EP "He is a Pirate" , vía Cri du Chat / Universal Music

Créditos
He's A Pirate (From "Pirates Of The Caribbean") - Arr. James Strauss
Interpretación de
Marcela Roggeri y James Strauss, 
Composición de
Geoffrey Zanelli, Hans Zimmer, Klaus Badelt
Producción de
Rumen Dubrev
Fuente: Universal Music Ltda.

Este lanzamiento, sirve como adelanto del álbum completo, que será revelado en febrero 2025! 

25 de ene. de 2025

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Marcela Roggeri y James Strauss lanzan nuevo EP, en homenaje a John Williams, vía Cri du Chat / Universal Music

Cri du Chat Disques y Universal Music presentan el nuevo EP de Marcela Roggeri y James Strauss. Un emotivo homenaje a John Williams, maestro de las bandas sonoras cinematográficas. Este lanzamiento, sirve como adelanto del álbum completo, que será revelado en febrero.
Pueden cliquear aquí para escucharlo!

20 de ene. de 2025

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"Sonatas for flute and piano" with flutist James Strauss

Espero que les guste nuestro nuevo CD para Universal Music Group dedicado a la encantadora y virtuosística Sonata en Re Mayor Op.94 de Sergei Prokofiev y a la sublime Sonata en La Mayor de Cesar Franck en adaptación para flauta y piano del gran flautista y compositor del siglo XIX Paul Taffanel.

2 de abr. de 2024

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"Piazzolla's Dream" with flutist James Strauss

"Piazzolla's Dream" with flutist James Strauss

15 de ene. de 2022


Nuevo CD virtual: Music from Home

La pianista argentina de trayectoria internacional Marcela Roggeri presenta su nuevo CD MUSIC FROM HOME, en versión digital, producido por DAG Klassical. Grabado íntegramente en 2020, desde su casa en Londres durante el período de aislamiento social, el trabajo contiene obras de D. Scarlatti, Hahn, Debussy, Fauré, Satie, Rimsky-Korsakov, Schumann, Granados, Gershwin, Lecuona, Calandrelli, Aguirre, Villa-Lobos, Ginastera, Ramírez y Piazzolla. Participa como invitado el flautista brasileño James Strauss.

MUSIC FROM HOME está disponible en todas las plataformas digitales: Spotify, Itunes, Deezer, Qobuz, YouTube Music, Amazon.

El ecléctico repertorio que aborda Marcela Roggeri en este CD es parte del que grabara durante la "cuarentena" londinense, y cuya totalidad se encuentra subido al canal de YouTube de Marcela Roggeri.

MUSIC FROM HOME
DOMENICO SCARLATTI: Sonata K.159 en Do Mayor
REYNALDO HAHN: A Chloris
CLAUDE DEBUSSY: Clair de Lune, de la Suite Bergamasque
GABRIEL FAURÉÉ: Sicilienne
ERIK SATIE : Gymnopédie No1 - Vals Ballet
NICOLAI RIMSKI-KORSAKOV: Canción hindú
ROBERT SCHUMANN: Rêverie
ENRIQUE GRANADOS: Danza española No 2 (Oriental)
GEORGE GERSHWIN: Do It Again
ERNESTO LECUONA: Preludio en la Noche
JORGE CALANDRELLI: Solitude - El Gato
PABLO AGUIRRE: Aguas Verdes (canción sin palabras) HEITOR VILLA-LOBOS: Valsa da Dor
ALBERTO GINASTERA: Danza de la Moza Donosa
ARIEL RAMIREZ: Alfonsina y el Mar
ASTOR PIAZZOLLA: Milonga del Ángel - Ave María

19 de dic. de 2020


2020: new CD out!
Années folles, Crazy Paris! François Chaplin & Marcela Roggeri

"Les Années Folles"

Par Rémi Jacobs

Ah ! Les années folles ! Oubliée, la guerre et ses traumatismes ! Oubliée aussi la grippe espagnole et son cortège de victimes ! Le temps de l’insouciance est revenu : il est urgent de profiter de la vie après tant de drames, de souffrances et de privations ! A Paris, les bals sont pris d’assaut : on y danse jusqu’à s’en étourdir le boston et le charleston que les soldats américains ont apportés dans leurs bagages. Le tango et la rumba font fureur en offrant aux couples leur parfum exotique. Une pléiade d’artistes, Hemingway, Mistinguett, Man Ray, Foujita, Cocteau, Van Dongen et bien d’autres, s’encanaille au Bal nègre situé au « 33 » de la rue Blomet pour écouter et s’imprégner des musiques venues des Caraïbes et de Cuba. Le quotidien Comoedia rapporte ainsi que : « dans l’un des plus romantiques quartiers de Paris, où chaque porte cochère dissimule un jardin et des tonnelles, un bal oriental s’est installé. Un véritable bal nègre où tout est nègre, les musiciens comme les danseurs, et où l’on peut passer le samedi et le dimanche une soirée très loin de l’atmosphère parisienne parmi les pétulantes Martiniquaises et les rêveuses Guadeloupéennes… »

Dans les guinguettes des bords de Marne et dans les petits bals de campagne, ouvriers et grisettes gambillent au son de l’accordéon qui enchaîne les javas et les valses musette. La « boite à frissons » n’a jamais si bien porté son nom !

Parmi les musiciens qui se produisent régulièrement à Paris dans les cabarets, le français Jean Wiener et le bruxellois Clément Doucet font la conquête du public du « Bœuf sur le toit », rue Boissy d’Anglas ou bien celui du « Coliseum », rue Rochechouart, en proposant des arrangements de chansons issues de comédies musicales de Gershwin. Ils jouent inlassablement des tubes comme Do it again, un fox-trott tiré de The French Doll (1922) ainsi que The man I love extrait du musical Lady, be good (1924) et y enchaînent souvent Gershwin cocktail, leur medley favori.

C’est dans l’esprit de ces duettistes que Marcela Roggeri et François Chaplin ont conçu leur programme en ajoutant aux standards de Gershwin Charleston du pianiste noir américain James Johnson (1923). Lors de sa « revue nègre » de 1925, les parisiens avaient pu voir Joséphine Baker croiser à toute allure mains et genoux au gré des rythmes syncopés de cette irrésistible danse en vogue dans la capitale de la Caroline du Sud

Venue tout droit de Buenos Aires, au cours de ces mêmes années, la belle Pepita Avellaneda (de son vrai nom Josefa Calatti) déchainait l’ardeur des amateurs de tango en chantant El Esquinazo, la milonga tanguera du génial compositeur argentin Ángel Villoldo. Ce magicien du tango avait éveillé la vocation du toulousain Carlos Gardel (Charles Romuald Gardès), qui obtint un triomphe en signant en 1934 El día que me quieras tendrá (Le doux murmure de ta respiration caresse mon rêve). Cette complainte amoureuse figurait dans le film éponyme de John Reinhardt dont elle était l’apothéose. Mais à peine avait-il enregistré la chanson en mars 1935, que Gardel devait disparaître deux mois plus tard dans le crash de l’avion qui le menait en Colombie, laissant le peuple argentin orphelin de l’un de ses plus chers artistes.

L’histoire du couple anglo-écossais Ethel Bartlett/Rae Robertson est singulière. Tandis qu’Ethel poursuit ses études à la Royal Academy of Music de Londres à partir de 1915, Rae est incorporé dans l’armée britannique et envoyé au front. Blessé par deux fois pendant la bataille de la Somme et à Ypres, il est finalement démobilisé par anticipation au début 1918, ce qui lui permet de reprendre ses études et de rejoindre Ethel Bartlett qu’il épouse en 1921. Les deux pianistes ont créé de nombreuses pages du compositeur Arnold Bax, dont The Devil that tempted St. Anthony (1928). Cette Tentation de Saint-Antoine a été inspirée par l’un des panneaux du Jugement dernier, le célèbre retable d’Issenheim conservé au musée Unterlinden de Colmar : il s’agit d’une vision à la fois imagée et intellectuelle de la peinture de Grünewald, que les pianos transposent en l’enrichissant de chromatismes spectaculaires, de trilles frémissants et de formules à l’emporte-pièce. Véritable hommage rendu à Edvard Grieg, Hardanger (1927) évoque le fiddle, le violon populaire norvégien, dans une brève et brillante partition au parfum folklorique.

Un peu avant la grande Guerre, Erik Satie avait composé quelques chansons « alimentaires ». C’est avec Je te veux qu’en 1910 la pulpeuse Paulette Darty s’était rendue célèbre, elle qui charmait ses adorateurs lorsqu’elle chantait la lancinante et lascive Fascination. Alors que Satie se tenait à l’écart de ses confrères, Maurice Ravel se proposait déjà avant- guerre d’honorer Johann Strauss en élaborant sous le titre de La Valse l’implacable mécanique d’un « tournoiement fantastique et fatal ». Avant de réaliser l’orchestration magistrale de ce cataclysmique Poème chorégraphique, il avait écrit la version initiale pour deux pianos en 1920 dont il avait donné la première audition à Vienne en compagnie de son ami Alfredo Casella.

Darius Milhaud de retour à Paris en 1919 après son séjour prolongé à Rio de Janeiro réunit quelques musiciens de la jeune génération, Poulenc, Honegger, Auric et Durey. Il complète ce « groupe des Cinq » par Germaine Tailleferre, pianiste et compositrice de talent qui vient de dédier en cette année 1928 deux valses pour deux pianos à Henri Sauguet, l’une mélancolique à souhait, l’autre enjouée et d’une agréable tournure. L’élégance, la finesse d’esprit et l’heureuse virtuosité qui animent ces deux valses se retrouvent chez Francis Poulenc qui ne craint pas d’afficher son côté canaille avec l’impertinente valse musette L’Embarquement pour Cythère écrite pour le film Le Voyage en Amérique d’Henri Lavorel en 1951, pas plus qu’il ne refoule le caractère surréaliste et fantasque du Capriccio tiré de l’extravagante cantate Le Bal masqué (1931). Quant à la ravissante mélodie Les Chemins de l’amour, elle provient d’une musique de scène composée en 1940 pour Leocadia, la pièce de Jean Anouilh dans laquelle triomphait Yvonne Printemps. La nonchalance de cette exquise valse sentimentale ne devait pas cacher que, cette fois, les Années folles étaient bel et bien révolues.

 

Rémi Jacobs

29 de nov. de 2019


Clásicos y Populares

Marcela Roggeri Facundo Ramirez
Música argentina para dos pianos
EPSA Music distribuido por Sony Music

English

By Diego Fischerman

The sound recording and the emergence of the mass media changed forever the boundaries of what had been considered artistic music. These modified the scope of the "classical" but also of the popular music, which stopped being the one made by the people to become that made for the people. The word "popular" ceased to refer to popularity. An aria by Donizetti sung by the Three Tenors at the closing of a World Cup has, in fact, much more popularity than an introspective improvisation by Bill Evans or Dino Saluzzi.

But, in spite of that, the words "classical" and "popular" still have a meaning for music listeners. What is being meant is, rather, the preferred materials for those types of music. And possibly about the traditions to which belong the procedures put into play with these materials by the musicians. But, evidently, the mutual exposure between such different traditions produced contamination and cross fertilization. There are many examples but, to name just a few: it is difficult not to listen to Béla Bartók inside "Libertango" by Astor Piazzolla, or Igor Stravinsky in the Sonata for two pianos in "A Fuego Lento" by Horacio Salgán; to Edward Grieg in Gato No. 1 by Ariel Ramírez or the musicians of the popular peñas in the very refined "Bailecito" by Carlos Guastavino.

Marcela Roggeri and Facundo Ramírez, both pianists trained by the same teachers –and with the same techniques– have developed their careers on lines where these possible musical paths diverge: she has done so in her versions of Satie, Domenico Scarlatti or Gubaidulina (also Guastavino and Piazzolla); he, in his interpretations of those small masterpieces that make up the rich heritage of the artistic creation of popular tradition in Argentina. And yet they naturally find the convergence in those areas where the musicians that belong to a tradition know how to feel tempted by the materials and processes of the other.

Here, there is no pretension or imposture; nor preciosity. The danger of the "stylization" with which the condescending classical, ranks the popular in a “musical hierarchy” is kept at a distance. This recording do not seek to provide improvements to one or the other kind of music but simply of some marvelous music in which elements of different provenance seduce, disturb, circle around each other; and finally, give their best, born in the -magical, elusive- contact of one with another.

Français

Par Diego Fischerman

L'enregistrement du son et l'apparition des moyens massifs de communication ont changé à jamais les limites de ce qui était considéré comme musique artistique .

Ils ont modifié la portée du « classique » mais aussi du populaire, qui a cessé d'être quelque chose fait par le peuple pour devenir quelque chose fait pour le peuple. Le mot “populaire”, a cessé de se référer à la popularité. Un aria de Donizetti chanté par les Trois Ténors à la clôture d'un Mondial de football a en effet beaucoup plus de popularité qu'une intime improvisation de Bill Evans ou de Dino Saluzzi. Mais malgré cela, les mots « classique » et « populaire » gardent toujours un sens auprès des auditeurs. Ce dont on parle alors, c'est plutôt des matériaux avec lesquels ces musiques dialoguent de façon privilégiée. Et éventuellement, de la tradition à laquelle appartiennent les procédés que les musiciens mettent en jeu avec ces matériaux. Mais naturellement, la mutuelle exposition entre traditions distinctes a entraîné des contaminations, des emprunts et des mélanges.

Les exemples sont nombreux mais, pour n'en citer que quelques-uns, il est difficile de ne pas entendre Bela Bartok à l'intérieur de « Libertango » d'Astor Piazzolla ou le Igor Stravinsky de la Sonate pour 2 pianos dans « A fuego lento» de Horacio Salgan, Edward Grieg dans le Gato N°1 de Ariel Ramírez ou les musiciens des ensembles populaires dans le si délicat « Bailecito » de Carlos Guastavino. Marcela Roggeri et Facundo Ramírez, pianistes tous les deux, et formés par les mêmes maîtres –et les mêmes techniques- ont développé leur carrières sur les lignes où ces possibles chemins musicaux divergent : elle, dans ses versions de Satie, Domenico Scarlatti ou Gubaidulina (mais aussi Guastavino et Piazzolla), lui dans ses interpretations de ces petits chefs-d'œuvre qui composent le richissime patrimoine de la création artistique de tradition populaire en Argentine. Et ils trouvent, de façon naturelle, à la convergence dans ces zones où les musiciens se laissent tenter par les matériaux et les procédés de l'autre. Il n'y ni affectation ni imposture. Rien d'alambiqué non plus. Le danger de la « stylisation » avec laquelle le classique, condescendant, « hiérarchise » le populaire, est gardé à distance. Il ne s'agit pas d'améliorations d'aucune sorte mais, seulement, de quelques musiques merveilleuses dans lesquelles des éléments d'origine diverse se séduisent, s'émeuvent, se cherchent pour finalement donner le meilleur d'eux-mêmes, précisément dans le contact –magique, insaisissable- entre les uns et les autres.

14 de sep. de 2018


Astor Piazzolla - Une Histoire de Tango

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Le tango, quelle histoire !

Piazzolla en a révolutionné le genre, et ses compositions sont déjà de grands classiques.

« Une histoire de tango » réunit une pianiste argentine et un clarinettiste français, comme pour célébrer ce lien particulier qui unit Astor Piazzolla à la France.

Le piano fait partie de la nomenclature traditionnelle de cette musique. À la fois mélodique, rythmique ou harmonique, délicatement chambriste ou puissant comme un petit orchestre.

Quant à la clarinette elle partage avec le bandonéon le jeu du souffle et des anches, et avec le violon, la capacité de chanter et d'émouvoir.

Les arrangements utilisent la variété expressive des clarinettes, tour à tour incisives, lyriques ou tendres.

"Pourquoi ma musique est si dramatique, alors que je ne le suis pas ?" s'interrogeait Piazzolla.

Voici seulement deux musiciens pour porter cette musique intense, pour ainsi dire, un "Piazzolla da camera" pour exprimer ce concentré d'émotions.

14 de sep. de 2016


Padre Antonio Soler : Fandango & Sonatas

Digipack 1 CD - Durée : 75'04 - Enregistré en concert en août 2006 au Grand Théâtre de Reims, dans le cadre des Flâneries Musicales d'Eté de Reims. Enregistrement & postproduction : Aline Blondiau pour Musica Numeris Piano Steinway & Sons préparé par Régie Pianos
 
«C'est par un chemin étrange que je suis arrivée au Padre Antonio Soler.
Qui aurait dit que le journal d'Anais Nin allait, par une voie détournée, me conduire à la musique d'un prêtre? Cette oeuvre d'une femme exceptionnelle et libertine avait en effet marqué mon adolescence, or son père, Joaquin Nin, excellent pianiste, a été le premier éditeur d'un recueil de sonates de Fray Antonio Soler.
J'ai tout de suite été subjuguée par ce prêtre aux mille et une facettes et par sa musique ensorcelante. Par quel mystérieux désir un homme d'église choisit-il d'écrire un Fandango, cette danse sensuelle et effrénée? Elle parle pourtant de sentiments qui sont très éloignés de ceux qui conviennent à un moine...
Dans ses sonates, on retrouve une panoplie de sentiments qui vont de la mélancolie à la virtuosité des danses, comme dans la jota, cette musique dansée par un peuple que Soler, sûrement à son grand regret, n'a pas eu l'occasion de côtoyer.
Je suis partie sur ses pas et je suis allée chercher ses manuscrits à L'Escorial, dans les montagnes, près de Madrid. Je n'y ai pas trouvé de partitions (je les découvrirai plus tard à Madrid) mais j'ai eu le bonheur de marcher dans les jardins du monastère de San Lorenzo et de visiter la cellule dans laquelle il a vécu et composé, guidée par un moine aussi fier que dévoué à son célèbre Frère.
Cet homme qui a décidé de renoncer à une vie mondaine pour se consacrer à sa passion pour Dieu et pour son art, a su garder une liberté d'esprit, malgré son isolement, que l'on retrouve dans sa musique pleine de gaité et de joie de vivre.» Marcela Roggeri

8 de oct. de 2011


Astor Piazzolla: Marcela Roggeri - Magali Léger

16 de nov. de 2010


Carlos Guastavino: Marcela Roggeri - Florent Héau

16 de nov. de 2010


Marcela Roggeri - Sofia Gubaidulina

Complete Works for solo piano

Live recorded in August 2007 in the Reims Maison Diocésaine Saint-Sixte, Festival: Flâneries Musicales D'été de Reims.

"Il convient tout d’abord de saluer la remarquable prestation de la pianiste argentine (aujourd’hui basée à Londres) Marcela Roggeri, et de souligner, comme cela semble être le principe chez Transart, la qualité de la captation en concert (insoupçonnable, autant par l’absence de bruits parasites que par la perfection du jeu de la soliste qui démontre qu’il est possible d’exécuter en direct des prescriptions s’apparentant à la « préparation » du piano comme c’est le cas pour la Sonate). Le jeu de Marcela Roggeri est limpide, son implication dans la lecture de ces pages contemporaines souligne le rapport privilégié qu’elle entretient avec cette musique, jouée avec la même autorité qu’elle peut mettre à interpréter Scarlatti" www.classiqueinfo.com, 21 Avril 2010

Reviews:

www.musicalcriticism.com/recordings/cd-roggeri-gubaidulina-0409.shtml

www.allmusic.com/album/gubaidulina-complete-piano-works-w267022

 

10 de ene. de 2009


🎼 Classical pianist
🏆 Victoires de la Musique Award
🏆 Runner-up Lukas Awards 2019

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